L’art du graffiti
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La chanteuse et rappeuse Natasha Marie a donné une prestation samedi après-midi au
festival Under Pressure.
Photo le Journal de Montréal, Éric Carrière -
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Le duo d’artistes Hoar et Kor a utilisé une technique qu’on pourrait qualifier de tapisserie urbaine. « Ce sont des images que nous avons peintes dans notre studio. »
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L’artiste MC Baldassari en était à sa première expérience au festival; elle a utilisé un pinceau plutôt que l’aérosol. « Je suis artiste illustratrice, c’est la première fois que je fais une murale ! »
Photo le Journal de Montréal, Éric Carrière -
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Marc-André était heureux de pouvoir travailler sur un mur qui est bien situé au centre-ville.
Photo le Journal de Montréal, Éric Carrière -
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L’artiste graffiteur Sizeo participe au festival depuis 17 ans. « Ça rassemble la communauté. Ça prouve également que le graffiti, ce n’est pas qu’une bande d’enfants qui veulent briser des choses. C’est de l’art. »
Photo le Journal de Montréal, Éric Carrière -
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Melissa Proietti est une des organisatrices qui a vu au bon déroulement des activités durant le week-end.
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« C’est vraiment un festival qui n’est pas prétentieux. Le but, c’est de le garder le plus petit possible. » – Sterling Downey, Fondateur de l’événement
Photo le Journal de Montréal, Éric Carrière -
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Darcy Macdonald a été chargé d’organiser la portion musique du festival Under Pressure.
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L’artiste Five 8 a apprécié la liberté liée au festival Under Pressure. « On a le droit de faire ce qu’on veut et on a le contrôle créatif. »
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Scaner est graffiteur depuis une quinzaine d’années. « C’est comme un festival de musique, c’est un jam de graffiteurs. C’est une occasion, chaque année, de canaliser nos forces pour travailler ensemble. »
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Mateo
Photo le Journal de Montréal, Éric Carrière -
Le festival Under Pressure a eu lieu tout le week-end sur la rue Sainte-Catherine, entre les rues Saint-Dominique et Hôtel-de-Ville. L’art du graffiti a été à l’honneur, alors que de nombreux artistes graffiteurs se sont activés à repeindre une dizaine de murs de ce secteur du centre-ville. Pour sa 18e édition, Under Pressure, qui est également un magazine publié deux fois par année, a rassemblé des graffiteurs du Québec et de l’Ontario apportant chacun leur style et leur couleur. Également au menu, des prestations de DJ et de chanteurs hip-hop, des kiosques et des conférences ont animé la rue Sainte-Catherine, fermée pour l’occasion. «Ça a commencé comme un festival de peinture, de graffitis, mais il y a également du breakdance, des DJ et du skate. Le but, ç’a toujours été de faire le plus d’activités possible qui sont associées à notre culture», a raconté le fondateur de l’événement, Sterling Downey
