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La californie permet d’effacer ses traces

Bloc Planete web Camille Desrosiers

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Bienvenue sur ma planète web, chaque semaine, je surferai sur Internet afin de comprendre pour vous ce qui se déroule dans cet univers qui prend de plus en plus de place dans toutes les sphères de notre société. Pour me rejoindre, partager vos sites favoris ou vos trouvailles :
La californie permet d’effacer ses traces
Une fois que des photos embarrassantes ont été publiées sur le web, on n’a jamais la certitude qu’elles ne feront plus jamais surface. De plus, encore de nos jours, peu de lois régissent le monde des médias sociaux du fait de son caractère récent et changeant.

La Californie a fait un pas en avant, cette semaine, dans le domaine. Une nouvelle loi est entrée en vigueur dans cet État américain. Lorsqu’un mineur fera une demande pour supprimer une photo, le réseau social sur lequel la photo a été publiée sera dans l’obligation de la supprimer définitivement, y compris dans les copies que le réseau conserve normalement dans ses serveurs. Toute fois, la loi n’inclut pas les publications faites par quelqu’un d’autre. Ainsi, un mineur ne pourra pas obliger Facebook à supprimer une photo embarrassante de lui que son ami (ou ennemi) a publiée. Quels sont, alors, les avantages? Un mineur pourra toutefois obliger un réseau

social à retirer de ses agrégateurs une photo qui, même après avoir été supprimée, continue à apparaître dans les fils d’actualité des abonnés ou qui peut se retrouver dans les résultats d’une recherche avec les mots-clic.

Évidemment, cette loi s’adresse à une minorité des utilisateurs de réseaux sociaux, et comme elle ne s’applique qu’aux photos que les mineurs ont eux-mêmes publiées, on peut douter de la véritable utilité d’une telle loi. Par contre, la Californie montre une volonté de s’adapter aux nouvelles réalités avec des lois sur les réseaux sociaux. 

le Web en chiffres
20 %
C’est le pourcentage d’Américains qui ne peuvent pas visiter Facebook au travail. En effet, plusieurs bureaux bloquent des sites de divertissement, craignant que leurs employés ne perdent du temps à naviguer sur le web durant les heures de bureau. Ce seraient 15% des Américains qui ne peuvent voir Twitter, 13% pour YouTube et 11% pour Pinterest. Évidemment, les statistiques s’appliquent seulement aux ordinateurs du bureau et non aux mobiles que les employés peuvent utiliser durant la journée.
La vidéo de la semaine prend la forme d’une publicité pour le vaporisateur PooPourri. On y voit une jeune femme vantant les mérites de ce vaporisateur qui garantit d’éliminer toutes les mauvaises odeurs dans la salle de bains, sauvant ainsi des couples en préservant le mythe que les filles n’ont pas besoin d’aller aux toilettes!
Saviez-vous que...
l’application mobile de Twitter enverra désormais des notifications «push» aux utilisateurs pour leur offrir des recommandations basées sur le contenu le plus populaire du moment sur Twitter.
Un site à découvrir
Le site de la semaine est une application très utilisée à travers le monde et qui débar quera très bientôt à Montréal: Hailo! Celle-ci vous permet de héler un taxi, sur votre téléphone mobile, en quelques clics. Hailo vous localise sur la carte et vous envoie un taxi que vous voyez se déplacer sur la carte. Ainsi, plus besoin de sauvegarder des numéros de téléphone de taxi. Tout ce dont vous aurez besoin pour vous déplacer, c’est cette application!


À SUIVRE SUR TWITTER
@ODTVA
L’aventure est bel et bien commencée en Espagne pour la 10e saison d’Occupation double. Pour ne rien manquer des activités des candidats, lire des nouvelles, voir des photos et visionner le contenu inédit des caméras en direct, suivez @ODTVA sur Twitter! OD innove cette année avec la maison des exclus. Selon vous, qui formera le couple gagnant? Pour tweeter au sujet de l’émission, n’oubliez pas le mot-clic #ODTVA!
Une fois que des photos embarrassantes ont été publiées sur le web, on n’a jamais la certitude qu’elles ne feront plus jamais surface. De plus, encore de nos jours, peu de lois régissent le monde des médias sociaux du fait de son caractère récent et changeant.

La Californie a fait un pas en avant, cette semaine, dans le domaine. Une nouvelle loi est entrée en vigueur dans cet État américain. Lorsqu’un mineur fera une demande pour supprimer une photo, le réseau social sur lequel la photo a été publiée sera dans l’obligation de la supprimer définitivement, y compris dans les copies que le réseau conserve normalement dans ses serveurs. Toute fois, la loi n’inclut pas les publications faites par quelqu’un d’autre. Ainsi, un mineur ne pourra pas obliger Facebook à supprimer une photo embarrassante de lui que son ami (ou ennemi) a publiée. Quels sont, alors, les avantages? Un mineur pourra toutefois obliger un réseau

social à retirer de ses agrégateurs une photo qui, même après avoir été supprimée, continue à apparaître dans les fils d’actualité des abonnés ou qui peut se retrouver dans les résultats d’une recherche avec les mots-clic.

Évidemment, cette loi s’adresse à une minorité des utilisateurs de réseaux sociaux, et comme elle ne s’applique qu’aux photos que les mineurs ont eux-mêmes publiées, on peut douter de la véritable utilité d’une telle loi. Par contre, la Californie montre une volonté de s’adapter aux nouvelles réalités avec des lois sur les réseaux sociaux. 

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