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Martine, policière, rescapée du suicide



J’en ai parlé à quelques reprises depuis un an. C’est un sujet qui fait près de 1000 victimes par années au Québec. C’est plus que deux fois le nombre de morts sur nos routes. J’ai déjà dit qu’il y avait des solutions, d’autres façons de faire. Vendredi dernier, la maison La Vigile faisait son inauguration officielle. Cet endroit accueille ceux et celles qui portent l’uniforme et qui vivent des situations personnelles plus que difficiles. Policiers, pompiers, ambulanciers, militaires et leurs familles vivent aussi des drames intenses qui les portent à considérer la mort comme une solution.

Certains en reviennent et racontent leur histoire, un peu comme une forme de libération et surtout pour faire de la prévention. J’y étais vendredi matin à Québec. Au-delà des discours des  dignitaires, trois personnes ont choisi de livrer leur témoignage de ce passage à vide de leur vie. Ils en sont revenus et ont raconté à la centaine de personnes qui s’y trouvaient combien La Vigile avait joué un rôle important dans leur vie.

J’ai choisi de vous partager l’un de ceux-ci. C’est celui d’une femme aujourd’hui forte. Poignant et touchant, ses propos ne laissent personne indifférent. Je n’ai changé aucune parole, aucun mot de ce qu’elle a dit. Je vous présente Martine...

Bonjour à vous tous,

J’ai 52 ans, je suis policière depuis plus de 27 ans, j’ai été une mère de famille monoparentale de deux jeunes qui ont aujourd’hui 24 et 23 ans. Ma vie a été un parcours parsemé de souffrance.

MARS 1998 je fais ma première tentative de suicide avec mon arme de service à mon domicile, je suis désarmée par des collègues qui se présentent chez-moi et je suis transportée par eux pour une hospitalisation en psychiatrie à la Cité de la Santé.

Diagnostic de problème en santé mentale ; plusieurs médicaments sont essayés de façon sporadique durant plusieurs années et finalement depuis plus de 12 ans je prends des médicaments afin de maintenir en équilibre ma santé mentale.

JUIN 2006 je fais ma deuxième tentative de suicide dans le vestiaire des policières du poste de police où je travaille, je suis désarmée par mon commandant et transportée en ambulance à la Cité de la Santé. Cette deuxième tentative est due à un stress intense accompagné d’une trop grande quantité d’alcool qui a détruit les effets de la médication dans mon cerveau créant un débalancement de la sérotonine et la dopamine qui se doivent d’être en équilibre pour être en bonne santé mentale.

Ma vie en survol ressemble à ceci :

  • À 23 ans je me marie,
  • À 25 ans je fais mon entrée dans la police et je suis la seule femme sur ma relève de travail avec les défis que cela comporte,
  • À 27 ans je mets au monde ma première fille, à 28 ans mon fils arrive à son tour,
  • À 31 ans avec mon conjoint on fait l’auto-construction d’une maison suivie d’une dépression majeure avec médication et thérapie.
  • À 32 ans je suis victime d’une agression sexuelle suivie d’un divorce, de recours judiciaire pour pension alimentaire et d’un déménagement,
  • L’été de mes 32 ans j’ai un accident de la route majeure, des problèmes avec l’impôt et des relations amoureuses difficiles et compliqués pour une maman monoparentale.
  • À 34 ans ma fille entre en première année et  éprouve des difficultés d’apprentissages dû à un trouble déficitaire de l’attention accompagné d’hyperactivité sous l’appellation du TDAH......la suite fût l’arrimage entre les psychologues, orthopédagogues, pédiatre, tuteur à la maison, professeur à l’école et le contrôle de la médication.
  • Durant ce temps la super woman policière continue de performer au travail..et vie des événements policiers parfois traumatisant.
  • À 36 ans comme je vous l’ai dit au début c’est ma première tentative de suicide suivie d’un arrêt de travail prolongé.
  • À 40 ans deuxièmes mariage, oui on pense ne pas faire les même erreurs.......je vis une reconstitution familial difficile accompagné d’un déménagement et en même temps j’ai un deuxième procès avec le père de mes enfants pour la pension alimentaire,
  • À 44 ans je vis ma deuxième tentative de suicide que je vous ai déjà expliqué plus haut......retour rapide au travail.....jugement de mes collègues policiers et les 2 années qui ont suivi j’ai été transféré plus d’une douzaine de fois d’endroits au sein de mon organisation en souffrant du jugement que mes collègues avaient à mon endroit et ceci souvent même avant que j’arrive en place.
  • À 46 ans je vis mon deuxième divorce accompagné de beaucoup de difficulté financière.
  • À 48 ans une opération majeure à une épaule suivi d’une convalescence de 6 mois.
  • À travers ma carrière de policière j’essaie 4 fois les examens de promotion de sergent-détective mais mon niveau d’anxiété qui est associé à ma santé mentale me fait échouer à chaque fois l’ultime étape de l’entrevue.....la quatrième fois fût un dur coup.....pour mon ego......
  • À 50 ans une remise en question et un flash back me fait porter plainte de mon agression sexuelle vécue voilà pratiquement 20 ans et soulève des conflits familiaux
  • À 51 ans après 5 ans de relation avec un conjoint je me sépare à nouveau
  • Un autre échec de couple....je me sens perdue et abattue mais je ne veux pas retourner avec mes idées noires alors j’entre dans une première thérapie suivi d’une deuxième quelques mois plus tard et finalement la dernière que j’ai vécue en août dernier à La Vigile grâce à l’information qui m’a été transmise par une amie ici présente et qui est la sœur du policier Guy Germain que j’ai connu soit le dernier policier à s’être suicider au SPVM.....Guy si on avait su l’existence de cette maison qu’est la VIGILE peut-être que tout aurais pu être autrement......pour toi et pour moi......
Une véritable révélation cette maison.....enfin un endroit où l’on peut se sentir bien parmi des gens qui vivent les mêmes souffrances que soi....ces pairs avec qui l’on peut parler sans peur du jugement......j’ai pas eu la chance d’avoir une maison de ce genre en 1998 ou en 2006 cela aurait fait toute une différence dans le parcours de ma vie.....ce parcours je tenais à vous le racontez pour que vous compreniez la nécessité d’une maison comme  LA Vigile qui permet de vivre un parcours moins ardue que le mien. Tout ce qui m’est arrivée peut arriver à tout le monde car personne n’est à l’abri. La Vigile est un endroit de repos, de transition, de répit pas mal mieux qu’un hôpital, un endroit en retrait de nos vies stressantes, un endroit où l’on peut se ressourcer nous les gens que nous sommes en uniformes sans la peur du jugement, un endroit pour penser à nous, avec des thérapeutes compétents, des soins personnalisés à chacun de nous. En 1998 lorsque je suis allée en psychiatrie pensez-vous que je me sentais au bon endroit.....NON.....mais entrer dans une maison comme la Vigile c’est de loin pas mal plus rassurant, plus humain et c’est ce que j’ai ressenti lorsque j’y suis venu en août dernier. Un policier, un ambulancier, un pompier ou un militaire c’est aussi un être humain derrière son uniforme mais comme on nous apprend à penser aux autres pour bien faire notre travail on oublie souvent que derrière la carapace.....derrière la veste pare-balle, on est nous aussi des êtres pouvant vivre de la souffrance accompagné d’un mal de vivre qui mérite d’être écouter et aider. On est au service des citoyens pour régler leurs problèmes mais on ne sait pas comment régler nos problèmes à nous et on n’ose pas demander de l’aide. On ne veut pas aller aux mêmes endroits que l’on amène les citoyens qui ont besoin d’aide car on a honte de nous-mêmes.....Voilà pourquoi une maison comme la Vigile a sa raison d’être.

Un problème de SANTÉ MENTALE N’EST PAS UN SIGNE DE FAIBLESSE MAIS UN SIGNE QUE CETTE PERSONNE EST DEMEURÉ TROP LONGTEMPS FORTE.....

Mon souhait d’aujourd’hui c’est que mon témoignage puisse servir à réveiller la communauté en uniforme afin de faire tomber les tabous envers la santé mentale ou les autres souffrances humaines. J’ai beaucoup souffert en silence dans ma vie et je souhaite maintenant que mes paroles puissent donner le courage à d’autres de parler avant qu’il ne soit trop tard. ...Vous savez à la lumière de ce que j’ai vécue à la maison La Vigile je rêve du jour où il y aura plusieurs maisons comme celle-ci et surtout du jour où il y en aura une dans la région métropolitaine. Je souhaitais accomplir un jour ce rêve si Dieu le veut.....

Un merci spécial à M. Jacques-Denis Simard de m’avoir donné cette opportunité de témoigner aujourd’hui.

Merci à vous tous de votre écoute.

Vendredi dernier, des bleus et des verts se trouvaient sur place pour l’entendre. Il y avait aussi des politiciens, des fonctionnaires, pompiers, agents de la faune et militaires. Même le cardinal Lacroix, archevêque de Québec, se trouvait parmi les invités.

Et pourtant, La Vigile ne fait pas dans la couleur de l’uniforme. Ils accueillent de façon inconditionnelle tous ceux et celles qui vivent des moment difficiles dans leur vie. Il faut y être passé une fois dans sa vie pour comprendre que le mal de vivre, la dépression et le suicide ne choisit pas non plus sa couleur, ni son uniforme.

Il faut en parler, encore et encore, pour donner une chance de s’en sortir, de faire cesser la souffrance, une chance de vivre...

La Vigile 1-888-315-0007

14 commentaire(s)

Steve Harvey-Fortin dit :
29 septembre 2014 à 8 h 43 min

Ce témoignage est plein d'incohérences du début à la fin comme à peu près tous les gens qui ont voulu se suicider au Québec. Cette policière a vécu pour le système et était déséquilibrée dans ses valeurs mais pas dépressive. On voit tout de suite que cette femme a vécu une vie désordonnée dès le début en raison des valeurs qui la poussait à faire des choix. Ne pas travailler aurait été de facto un bon remède pour elle afin de mieux se positionner comme citoyenne dans ses valeurs.

On ne doit jamais se confier à des gens qu'on ne connait pas comme des psychiatres ou psychologues. Ces gens se nourrissent de vos problèmes afin de justifier leur utilité. Et comme policière on ne règle pas les problèmes des autres, on ne fait que faire respecter la loi et faire son travail, on a pas à s'impliquer émotivement.

Bref, moi, tout ce que je vois de cette femme c'est qu'elle était une personne à problème avant même de se marier et de devenir policière en raison de sa mentalité et de ses valeurs erronées qu'elle appliquait dans sa vie. Tout le monde vie des problèmes dans la vie et pourtant ils n'essaient pas de se suicider pour autant. Certains garde le silence car ils considèrent que cela fait partie intégrante des choix qu'ils ont fait dans la vie. Ce n'est pas parce que vous avez des problèmes que vous êtes anormal, car les psychiatres et psychologues seront les premiers à vous aimer.

S'il vous faut une maison comme La Vigile pour vous rendre compte de certaines choses de la vie c'est que vous avez manqué votre vie. Dans la vie, on a tous notre chemin à faire face à nos problèmes, il suffit d'apprendre à gérer nos choix et faire des choix éclairés.

francois450 dit :
29 septembre 2014 à 10 h 06 min

@ Steve Harvey-Fortin, "Bref, moi, tout ce que je vois de cette femme c’est qu’elle était une personne à problème avant même de se marier et de devenir policière en raison de sa mentalité et de ses valeurs erronées qu’elle appliquait dans sa vie"

Ok tu la connais bien, raconte nous alors en quoi AVANT DE SE MARIER et AVANT DE DEVENIR POLICIÈRE sa mentalité et ses valeurs étaient erronées.

"...Et comme policière on ne règle pas les problèmes des autres, on ne fait que faire respecter la loi et faire son travail..."

Quand quelqu'un appelle la police c'est parce que cette personne a un problème, non? Un gros pourcentage du travail policier est en dehors des lois à faire respecter.

"...on a pas à s’impliquer émotivement."

Ben non, quand un policier un pompier ou ambulancier ramasse un enfant à moitié coupé en deux ou la tête presque arrachée sur les lieux d'un accident ou une mère décédée sur le siège du conducteur d'une auto et qu'un enfant de 2 ans est indemne dans son petit siège d'enfant et pleure en réclamant sa mère ou qu'un policier va annoncer à 4h du matin la mort d'un enfant à des parents c'est simple comme bonjour, tu le sais ça tu l'as fait surement. Tu prends ça avec un grain de sel.

ET NE VIENS PAS ME DIRE QUE LES POLICIERS LES POMPIERS ET LES AMBULANCIERS SONT FORMÉS POUR ÇA...AUCUNE FORMATION N'ENSEIGNE OU NE FORME POUR ÇA.

Pauvre type.......

Alain Provis dit :
29 septembre 2014 à 10 h 43 min

Si tu n'aimes pas ta vie, bien change de vie

parole d'un ex-policier

J-F. Couture dit :
29 septembre 2014 à 11 h 23 min

Une histoire très triste que l'on ne souhaite à personne.

Une question- lancinante-se pose tout de même chez moi:

Vu les exigences pour obtenir un permis d'acquisition ou de possession d'arme à feu, un citoyen (ou une citoyenne) ordinaire présentant pareil profil satisferait-il (elle) aux conditions pour se voir émettre pareil permis? Et pourtant, cette dame a pu, tout au long de ces années, conserver accès et usage d'une arme dite «de service». Je ne suis pas sûr que j'aurais souhaité la rencontrer, et encore moins la contredire un jour où elle aurait été dans un mauvais épisode. Et soudain me vient en mémoire le cas «728».

Auriez-vous, Monsieur Doré, de qui éclairer ma lanterne et surtout, me rassurer. Et ne croyez pas que je ne sympathise pas avec les problèmes de la dame. Ma préoccupation est à un autre niveau et ne relève pas des préjugés mais des faits racontés. Ai-je tort de m'en inquiéter?.

e

Fantaisies dit :
29 septembre 2014 à 12 h 21 min

Vous voulez me dire que cette femme la se baladais avec un révolver tout ce temps... wow, coudon y a personne qui s'est levé debout pour dire ''arrêtez la quelqu'un'' elle n'est pas du tout dans son domaine, si elle ne l'aime pas sa job qu'elle fasse quelque chose d'autre, dans la vie on a toujours le choix. Mais a la lecture de sa vie... c'est évident que c'est une personne a problème... et le travail de policier c'est vraiment pas pour l'aider non plus... vite sortez la de la pour la protection des autres.

Xyste de Verchères dit :
29 septembre 2014 à 13 h 50 min

@ François Doré

Qui dit : «. C’est un sujet qui fait près de 1000 victimes par années au Québec. C’est plus que deux fois le nombre de morts sur nos routes.».

Selon ce constat, et si nous croyons la grande bienveillance de l'État à assurer notre sécurité et vouloir notre bien-être, le budget pour la prévention du suicide devrait être le double de celui de la SAAQ.

Et pourtant, le budget est 100 fois moins que la SAAQ !!!

Quelle mauvaise foi.

L'État ne souci de vous que lorsque ses programmes sont rentables et qu'il peut les appliquer de manière coercitive. Éviter un suicide ça ne rapporte rien à l'État. Et puis, il est bien difficile de forcer quelqu'un à vivre, de le taxer s'il n'obtempère pas et d'avoir une échelle punitive qui augmente à chaque récidive.

Voilà essentiellement les effets pervers des doctrines marxistes qui polluent le paysage du Québec.

Quelle hypocrisie !!!

marjolaine taillon dit :
29 septembre 2014 à 14 h 28 min

merci @françois votre réponse m'évite de lui répondre et je n'aurais surement pas été aussi diplomate il ne connait rien à la dépression ,à la souffrance que vit la personne ainsi que son entourage mon homme se bats contre l'angoisse profonde et la dépression depuis 6 mois après l'avoir ignoré des années non il ne porte aucun uniforme il ne vit pas les même problèmes qu'eux c'est vrai mais la dépression est dure à vivre pour tout ceux qui l'a côtoie

Steve Harvey-Fortin dit :
29 septembre 2014 à 21 h 37 min

@ françois450

Lorsqu'une personne vit des problèmes a répétition et qu'elle songe à se suicider c'est que c'est elle le problème et non pas les autres.

Il y avait un joueur de hockey du nom de Richer qui malgré son talent et sa bonne fortune n'appréciait pas la vie et avait toujours des problèmes personnel. Il a lui-même admis avoir des problèmes d'ordre spirituel dans une entrevue. Assez spécial non ?

Je ne connais pas la personne en question mais lorsqu'une dépression est chimique, il existe des médicaments pour la soigner (lithium). Mais lorsque la dépression dépend de la perception de la réalité de ce qu'on vit versus la vie c'est qu'il y a un problème entre les deux oreilles.

Et pour ce qui est des situations post-traumatique vécu en milieu de travail comme policier, pompier et ambulancier, ils doivent s'attendre à voir toutes sortes de situation difficiles. Dans le cas contraire, je leur suggère de changer de métier et de vie.

Une dépression j'ai connu cela deux fois sans médecin. La première fois, je ne comprenais pourquoi parce que j'étais jeune mais j'en ai compris la cause plusieurs années plutard. La deuxième fois, j'en connaissais la cause mais je ne connaissais pas l'ennemi direct qui en était la source, mais maintenant je le connais. Dans ou l'autre cas, il y aura des comptes à régler un jour mais ce n'est pas moi qui décidera de ce jour.

danydany dit :
30 septembre 2014 à 7 h 55 min

elle ne fait pas pitiee , elle n est pas a plaindre point a la ligne . c est une faible comme bien des personnes metiers et professions confondues ,,,,!!!!!! tout le monde a des problemes dans la vie et on ne pense pas tous a se suicider pour ca , dans la vie faut etre fort et vigilant . faut apprendre de ces erreurs , le matin quand je me leve j enfile mon habit de soldat , car la vie est un eternel combat de tous les jours , quand tu vas travailler en voiture et que tu sait qu un policier ou une policiere est cacher a quelques part pour te donner un tiket pour atteindre son quota elle a pitie de moi ??? quand tu sait qu un percepteur d impot cherche une faille dans ta declaration pour te soutirer un peut plus d argent pour atteindre son quota as t il pitie de moi ? quand les fonctionnaires d hydro quebec augmentent les tarifs d electricites ont t ils pities des gens a faibles revenues ??? quand les fonctionnaires du gouvernement les presidents des banques les maires et toutes les tetes dirigeantes se donnent des augmentations ont il pitie ??? quand les policiers les pompiers les cols bleus cols blancs refusent de faire leurs parts en ce qui concerne leurs retraites ont il pities de ceux qui ne peuvent pas s en payer une si petite soit elle ??? regardez monsieur a montreal comment les policiers traitent les gens .les itinerants . les sans abris .les gens a faible revenus qui n arrivent meme pas a payer leurs loyer ,la bouffe, les effets scolaires de leurs jeunes enfants , eux auraient des raisons de se suicider .mais cette femme a eue un bon salaire des avatanges que la plus pârt des gens honnetes n auront pas .elle a des problemes comme moi j en ai , comme tous les gens en ont , alors je n ai aucune pitie pour elle, aucune empathie ni pour vous d ailleur qui avez eu ce que la plus part des gens comme moi n auront pas ce st a dire une retraite et des avantages que la majorite des gens ne peuvent avoir

francois450 dit :
30 septembre 2014 à 10 h 45 min

@ danydany,

Tu as un problème en effet. Se croire persécuté par des policiers cachés derrière chaque arbre alors que tu es en voiture, croire que des gens de l'impôt attendent fébrilement ta déclaration d'impôt au printemps pour te pogner en défaut.

Jalouser tous les corps de métiers qui ont de meilleurs conditions que toi, tu n'a pas de fond de pension tu n'as pas un bon salaire alors personne n'a le droit d'en avoir.......

Ta vie doit être bien misérable en effet, pauvre de toi......................

Marie dit :
30 septembre 2014 à 11 h 17 min

@danydany: Je vais être polie en taisant ce que je pense de vous. Vous êtes un individu de peu de valeur. Vous me faites pitié. J'espère que vous n'avez pas d'enfants.

J-F. Couture dit :
30 septembre 2014 à 23 h 36 min

@M. Doré: Comme il semble que mes questions vous indisposent, je ne vais donc plus vous en poser, laissant la place à ceux qui préfèrent vociférer. Et cela vaudra pour tous vos propos à venir. Sans doute, cela ne vous dérangera pas et vous savez quoi? Moi non plus.

Allez, bon vent.

Steve Harvey-Fortin dit :
1 octobre 2014 à 4 h 50 min

@ Marie

Ah la germaine qui essai de culpabiliser en utilisant les enfants et la famille contre quelqu'un qui donne son opinion. Est-ce que vous patrouillé internet à l'affut de tous les commentaires ?

Il y a une valeur fondamentale qui échut à tous et si vous n'êtes pas d'accord avec ce que les autres disent, alors ferme ta ......

Steve Harvey-Fortin dit :
1 octobre 2014 à 4 h 57 min

@ françois450

danydany n'a pas dit qu'il jalousait ou qu'il se croyait persécuté, il a seulement dit d'arrêter de vous plaindre comme citoyens parce que dans l'échelle sociale vous n'hésiter pas a appliquer la loi de façon rigoureuse. Bref, selon lui vous ne servez que les intérêts d'un gouvernement corrompu qui fait des lois et écrase des gens pour de l'argent.

Et dans sa tête à lui c'est pour cette raison en partie que les policiers et autres fonctionnaires se suicide ou veulent se suicider malgré les bonnes conditions de travail qu'ils ont acquises.

Tant qu'il est dans votre intérêt de persécuter les citoyens par lois interposées selon votre revenu, votre conscience vous retourne le solde un jour ou l'autre.







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