Pourquoi pas!
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Nous soulignions, hier, que l’emploi du terme «soi-disant» en parlant de choses était critiqué. Pour sa part, l’Office québécois de la langue française va dans le sens du Grand Robert et remarque que l’adjectif «soi-disant» est devenu dans l’usage un synonyme de «prétendu», «pouvant ainsi qualifier des personnes ou des choses qui passent pour ce qu’elles ne sont pas: le soi-disant accord de paix...; la soi-disant liberté de parole...». On ne voit pas, en effet, pourquoi les termes «soi-disant» et «prétendu» ne s’appliqueraient pas aux personnes et aux choses: de prétendus médecins; de soi-disant remèdes...