[VIDÉO] À la rencontre des gens qui travaillent à l'extrémité nord du Québec
Pourquoi près d’un millier de personnes ont-elles choisi un métier qui les éloigne tant de la chaleur, de la végétation et de leurs proches? La réponse est surprenante!
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Tandis que plusieurs Québécois profitent d’une météo plus clémente, les travailleurs de la mine Raglan, située à l’extrémité nord de la province, devront affronter des températures ressenties de -30°C pour les semaines à venir.
Mais pourquoi près d’un millier de femmes et d’hommes ont-ils choisi un métier qui les éloigne tant de la chaleur, de la végétation, des restos, des festivals et de leurs proches?
La réponse est surprenante!
Accompagnés de Donald Boulay, un ancien mineur de Raglan, nous sommes allés rencontrer ces travailleurs nordiques afin de découvrir ce contexte d'emploi unique.
S’il profite pleinement de sa retraite, Donald a avoué, durant le vol de 1800 km, qu'il avait hâte de revoir sa «famille» et de revivre momentanément dans cette communauté tissée serrée.
Pendant le séjour, nous avons visité les installations de cet impressionnant petit village intérieur avec Roxanne, la fille de Donald, qui a repris le flambeau.
Nous avons également exploré les tunnels de la mine de nickel avec Pierre Ferlatte et sa nouvelle recrue, Putulik Kulula Lance, un jeune homme issu d’une communauté inuite située à quelques centaines de kilomètres de là.
Visionnez notre reportage pour découvrir l’expérience du travail à l’extrémité nord du Québec: