Selon une étude, quitter Facebook rendrait moins déprimé et plus productif
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Une étude faite auprès de 1765 étudiants universitaires au Texas a révélé que quitter Facebook aurait certains effets positifs sur la vie des gens qui le font.
La méthode consistait à diviser les étudiants en deux groupes. Le premier groupe a continué son activité habituelle sur Facebook, tandis que l’autre l’a arrêtée pendant une semaine.
Les chercheurs ont découvert que les étudiants du deuxième groupe étaient plus productifs, rapportaient qu’ils se sentaient moins déprimés, se lançaient dans des activités plus saines et faisaient moins d’achats compulsifs.
«Facebook a des effets significatifs sur d’importants aspects de la vie», écrivent les chercheurs.
L’équipe demandait également aux étudiants du groupe qui avait quitté le réseau social le montant qu’ils souhaiteraient éventuellement obtenir en compensation de leur abandon. Ce montant s’élevait au départ à une moyenne de 67 dollars américains, puis a augmenté de 20% suite à la semaine sans Facebook.
Selon l’étude, cela révélerait une relation addictive au réseau social.
Par ailleurs, l’équipe a découvert que, sans Facebook, les étudiants du deuxième groupe consommaient moins d’informations et étaient également moins exposés aux fake news.
Pour autant, ils ne s’informaient pas auprès d’autres sources plus traditionnelles.
Au regard de ces études, la vraie question semble être: pourrait-on quitter les réseaux sociaux sans être coupés du monde?
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