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Une militante prête à vivre avec un casier judiciaire pour l’environnement



L'une des militantes d'Extinction Rebellion qui a grimpé sur le pont Jacques-Cartier, mardi matin, se dit prête à vivre avec un casier judiciaire pour l’environnement.

«C’est un moindre mal si on compare à tout ce qui nous attend si on ne fait rien pour l’urgence climatique, a affirmé Chantal Poulin lors d'une entrevue accordée à TVA Nouvelles. C’est peut-être contre la loi, mais c’est tout à fait en accord avec la morale. Parfois, il faut oser briser certaines lois, évidemment toujours de façon non violente», a-t-elle expliqué.

Les trois militants écologistes arrêtés après leur coup d’éclat ont été libérés cet après-midi et seront accusés de méfait et de complot.

Il s’agit de Chantal Poulin, la troisième vice-présidente au syndicat de l’enseignement de la Pointe-de-l’île, de Mélanie Dupuis, une chargée de projet en agriculture urbaine et de Yann Robitaille, un enseignant à l’école secondaire Calixa-Lavallée.

 

Les trois individus ont été libérés sous promesse de comparaître le 24 octobre prochain au palais de justice de Montréal.

Lien avec Québec solidaire

Une recherche sur le web nous a permis d’apprendre que Chantal Poulin faisait partie en 2017 du comité de coordination de Québec Solidaire dans Hochelaga-Maisonneuve.

«Malgré l'importance des enjeux en cause, la commission scolaire ne cautionne ni n'autorise aucun acte contrevenant aux lois de la part de quiconque», a indiqué la commission scolaire de la Pointe-de-l'île.







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