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Tout le monde répond présent chez les Penguins



Les camps d’entraînement des équipes de la Ligue nationale de hockey (LNH) ne sont pas encore commencés, mais tous les joueurs des Penguins se trouvent désormais à Pittsburgh. 

Adversaires du Canadien de Montréal en ronde qualificative pour les séries, les «Pens» semblent prendre la situation au sérieux, à en juger par les déclarations de leur entraîneur-chef Mike Sullivan, qui a participé à une vidéoconférence avec les médias, mercredi.

«À ma connaissance, tout le monde est à Pittsburgh actuellement. Le dernier joueur arrivé fut Patric Hornqvist. Il se soumettra au protocole de quarantaine et de tests imposé par la LNH. Maintenant, tout notre groupe de hockeyeurs est là», a déclaré le pilote par le biais de propos diffusés sur le compte Twitter du club.

D’ailleurs, en date de lundi, plus d’une vingtaine de porte-couleurs de la formation avaient profité de la phase 2 du plan de reprise des activités de la ligue pour s’entraîner en petits groupes dans les installations des Penguins. Cela incluait Sidney Crosby, Evgeni Malkin, Kristopher Letang et Jake Guentzel. Toutefois, la préparation ne fait que commencer et elle impliquera tous les membres de l’organisation.

«D’un point de vue mental, il y a des défis significatifs à relever. Notre personnel d’instructeurs devra discuter avec les joueurs, même si c’est déjà commencé. Il faudra leur donner des simulations de match afin qu’ils ressentent les mêmes choses qu’un jour de rencontre», a expliqué Sullivan.

Intensité à son comble

Même s’ils seront établis favoris pour vaincre le Tricolore, les Penguins ne prennent rien à la légère. Ils savent que l’intensité des parties sera élevée dès le retour à l’action.

«Il y a beaucoup étant à l’enjeu. Le désir et la motivation de remporter la Coupe Stanley forceront les joueurs à effectuer rapidement des ajustements. Je peux vous l’assurer: la compétition sera féroce», a prédit Sullivan, qui se dit toutefois en confiance avec son groupe ayant du vécu en séries éliminatoires.

«Compter sur ce bagage et le leadership que nous avons est inestimable. Ces gars ont traversé beaucoup de trucs durant leur carrière et peuvent en bénéficier. Ils voient comme une opportunité ce qui se présente à nous.»

Dans un autre ordre d’idées, l’entraîneur-chef s’attend à voir son adjoint Jacques Martin, 67 ans, reprendre le boulot dès le début du camp.

«Il se sent à l’aise et veut participer pleinement.»







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