[EN DIRECT 18 NOVEMBRE 2020] Tous les développements de la pandémie de COVID-19
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Que ce soit au Québec ou ailleurs sur la planète, la pandémie de COVID-19 bouleverse nos vies.
Vous trouverez ici, au fil de la journée, toutes les nouvelles concernant la crise qui frappe la population, les gouvernements et l'économie.
MONDE
- Cas: 56 178 674
- Décès: 1 348 348
CANADA
- Cas: 311 109; 127 233 au Québec
- Décès: 11 186; 6710 au Québec
TOUTES LES NOUVELLES DU MERCREDI 18 NOVEMBRE 2020
22h15 | Pire journée en termes de mortalité depuis juin au Canada
18h22 | Prolongement du congé scolaire: Québec met la charrue devant les bœufs, dit l’opposition
17h49 | Plus de 250 000 morts de la COVID-19 aux États-Unis
17h31 | Quelque six millions de doses de vaccins contre la COVID-19 arriveront au Canada d'ici mars et les premières seront disponibles dès janvier, a laissé entendre la ministre de la Santé de l'Ontario mercredi.
16h17 | Des résidences pour aînés du Québec ont reçu mardi des directives qui n’étaient pas finales et approuvées, selon la ministre responsable des Aînés et des Proches aidants Marguerite Blais.
15h57 | La frontière canado-américaine demeurera fermée aux voyageurs non essentiels au moins jusqu'au 21 décembre, a appris l'Agence QMI.
15h43 | La deuxième vague de la COVID-19 doit être combattue sans vaccins, affirme l’OMS
14h50 | Protéger les bébés prématurés de la COVID-19 n’est pas une mince tâche, mais les nombreuses mesures mises en place dans le département de néonatalogie du CHU Sainte-Justine ont permis de garder le coronavirus à l’extérieur de ce département névralgique.
13h24 | Comment fonctionne l'essai clinique d'un vaccin?
13h12 | COVID-19: «Je ne veux pas leur transmettre ça comme cadeau de Noël».
13h01 | L’armée suisse en renfort des hôpitaux débordés.
Le gouvernement suisse a annoncé mercredi un renfort militaire accru aux hôpitaux du pays saturés par la deuxième vague de COVID-19, ainsi qu’une aide financière aux particuliers, entreprises et clubs sportifs en proie aux difficultés économiques.
L’armée pourra être appelée en renfort jusqu’à la fin du mois de mars afin de contribuer à la logistique, au traçage des cas contact, et compenser les pertes d’effectifs en cas de contamination.
« Par cette contribution de la protection civile et l’armée, j’espère pouvoir soutenir notre système de santé au cœur de la tempête, et ainsi éviter des souffrances inutiles », a déclaré la ministre de la Défense Viola Amherd à la presse.
Le canton de Genève, le plus touché du pays, a indiqué mercredi que ses hôpitaux avaient réclamé une telle aide après avoir vu le nombre de patients multiplié par 10 en un mois.
La Société Suisse de Médecine intensive (SSMI) a averti mardi que, dans le pays, « les unités de soins intensifs étaient aux limites de leur capacité régulière de lits ».
Le nombre de patients Covid en soins intensifs dans le pays est passé de 148 fin octobre à 543 mardi, selon le médecin en chef de l’armée, Andreas Stettbacher.
La Suisse est bien plus touchée par la deuxième vague de la pandémie que la première. Le pays de 8,5 millions de personnes a enregistré 10 000 cas par jour plusieurs fois en novembre, mais plusieurs mesures sanitaires comme la fermeture de restaurants et magasins dans certaines régions ont permis un certain infléchissement.
11h46 | COVID-19: une pédiatre conseille un mini-confinement pour tous au retour des Fêtes.
11h23 | Québec permet des réunions de 250 personnes pour certaines activités jugées essentielles.
10h08 | Un enfant meurt de la COVID-19 en Norvège.
La Norvège a annoncé mercredi la mort d’un enfant atteint de la COVID-19, le premier cas juvénile mortel dans le pays scandinave.
« Un enfant hospitalisé à l’hôpital universitaire de Haukeland est mort mercredi d’une maladie liée à la COVID-19 », a annoncé l’établissement situé dans la ville de Bergen (ouest) dans un tweet.
« L’enfant souffrait d’une autre pathologie chronique grave », a-t-il ajouté.
Son âge et la nature de l’autre pathologie n’ont pas été précisés.
Les autorités sanitaires norvégiennes avaient plus tôt dans la journée annoncé le 299e décès lié au virus depuis le début de l’épidémie, sur un total de 30 133 cas officiellement recensés.
7h41 | La COVID-19 gâche la fête des Nobel.
Les grandioses festivités Nobel célébrant les prouesses dans le domaine des sciences, de la littérature et de la paix vont être réduites à leur plus simple expression le mois prochain, les restrictions liées à la COVID-19 empêchant les heureux lauréats d’aller chercher leur prix en personne.
Cérémonie en présence de têtes couronnées, banquet... Il est de tradition de remettre les prix Nobel en grande pompe le 10 décembre, date anniversaire de la mort de leur fondateur, l’homme d’affaires suédois Alfred Nobel (1833-1896). À Stockholm pour les disciplines scientifiques, la littérature et l’économie, et à Oslo pour la paix.
Mais la COVID-19 va gâcher la fête cette année.
Après l’annulation déjà connue de la venue des lauréats en Suède, la Fondation Nobel a annoncé mercredi que le chef du Programme alimentaire mondial (PAM), coiffé des lauriers de la paix, ne pourrait aller chercher son prix le mois prochain en Norvège.
À défaut, la Fondation a dit réfléchir à une possible cérémonie en mode numérique le jour J, puis à l’organisation des festivités traditionnelles l’an prochain en espérant, cette fois, la présence du directeur général du PAM, David Beasley.
« Compte tenu des restrictions actuelles à Oslo, il ne serait pas possible de mener à bien la cérémonie et d’autres parties du programme traditionnel du lauréat » à la date habituelle, ont expliqué les organisateurs dans un communiqué.
6h27 | Baisse du nombre de cas, augmentation du nombre de morts en Europe, selon l’OMS.
Le nombre de nouveaux cas de COVID-19en Europe a diminué la semaine dernière pour la première fois en plus de trois mois, mais les décès dans la région ont continué d’augmenter, révèlent des données de l’OMS publiées mercredi.
Au total, près de quatre millions de cas ont été enregistrés dans le monde au cours de la semaine dernière, causant la mort de près de 60 000 personnes, a indiqué l’Organisation mondiale de la Santé.
L’Europe, qui a vu mardi son nombre total d’infections passer la barre des 15 millions, reste la région du monde la plus affectée.
La semaine dernière, ce chiffre a représenté 46 % des nouveaux cas mondiaux et 49 % des décès, selon la mise à jour épidémiologique hebdomadaire de l’Organisation.
Avec 1,84 million de nouveaux cas, la pression est restée élevée en Europe, mais l’OMS souligne que « la semaine dernière, pour la première fois depuis plus de trois mois, la région a observé une baisse de 10 % du nombre de cas hebdomadaires ».
Plus de 29 000 nouveaux morts ont toutefois été enregistrés sur le continent européen pendant cette période, soit une augmentation de 18 % par rapport à la semaine précédente.
6h25 | COVID-19: la Hongrie étend l’état d’urgence jusqu’au 8 février.
La Hongrie a étendu jusqu’au 8 février l’état d’urgence, décrété pour lutter contre la seconde vague de la pandémie de COVID-19, selon un décret gouvernemental adopté tard mardi soir.
Les restrictions, qui comprennent un couvre-feu entre 20 h et 5 h, l’interdiction des rassemblements et la mise en place de cours en ligne pour les écoles et les universités, devaient initialement prendre fin le 10 décembre. Elles peuvent désormais être prolongées de deux mois supplémentaires.
6h22 | Six jours de confinement dans l’État d’Australie-Méridionale.
L’État d’Australie-Méridionale a annoncé la mise en place à compter de mercredi minuit d’un confinement de six jours dans la capitale Adélaïde pour tenter de circonscrire la récente flambée de cas de coronavirus.
Les écoles, les restaurants et les usines doivent fermer et les habitants de l’ensemble de l’État sont tenus de rester chez eux.
Cette mesure intervient après l’apparition de deux nouveaux cas en ce qui concerne un foyer de coronavirus détectés dans un hôtel d’Adélaïde, où des personnes arrivant de l’étranger effectuaient leur quarantaine.
La ville totalisait ainsi mercredi 22 personnes contaminées.
Les mariages et les enterrements seront interdits et le port du masque rendu obligatoire en public dans cet État qui n’avait pas enregistré un nombre significatif de cas depuis avril.
« Nous frappons fort et tôt. Le temps presse et nous devons agir rapidement et fermement. Nous ne pouvons pas attendre de voir à quel point la situation va se dégrader », a déclaré le premier ministre de cet État, Steven Marshall.
La responsable des services de santé, Nicola Spurrier, a souligné que ces mesures « extrêmes » devraient permettre à cet État de 1,8 million d’habitants de rechercher les cas contact et d’interrompre les chaînes de transmission.
« Je ne peux pas prendre cette décision dans deux ou trois semaines, ni même dans deux ou trois jours, car ce sera trop tard », a-t-elle déclaré.
6h15 | Le Brésil menacé d’une deuxième vague de coronavirus.