Suicide d’une médecin: «C’était une grande âme», confie son mari
Coup d'oeil sur cet article
Le mari de Karine Dion, l’urgentiste qui s’est enlevé la vie le 3 janvier dernier, l'a décrite, lundi, comme une femme dévouée qui voulait changer le monde et qui conciliait du mieux qu’elle le pouvait le travail et la famille.
• À lire aussi: Épuisée par la pandémie: une urgentologue s’enlève la vie
«C’était vraiment une grande âme. Karine, elle voulait le bien, a témoigné David Daigle en parlant de sa défunte conjointe. Elle était vraiment là pour les bonnes raisons.»
M. Daigle avait d’ailleurs un message pour les proches des intervenants de la santé lors de son entrevue avec Benoît Dutrizac, à QUB radio.
«Le message que je veux lancer, c’est de faire attention à tous ces gens-là qui travaillent en santé présentement et qui sont à bout, mais qui ne l’avouent pas. Ça me tient beaucoup à cœur parce que je sais que ma femme était de ceux-là», a-t-il affirmé.
ÉCOUTEZ l’entrevue complète de David Daigle à QUB radio:
Si vous avez besoin d’aide
Ligne québécoise de prévention du suicide
- www.aqps.info
- 1 866 APPELLE (277-3553)
Jeunesse, J’écoute
- www.jeunessejecoute.ca
- 1 800 668-6868
Tel-jeunes
- www.teljeunes.com
- 1 800 263-2266