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Guerre en Ukraine: des jeunes inquiets et perturbés par le conflit

Plusieurs s’en font pour des parents et amis vivant en Ukraine

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À la rescousse 

Photo courtoisie

Les proches d’une étudiante de l’Université de Montréal refusent d’abandonner tout ce qu’ils ont dans une région du sud de l’Ukraine, où les combats se poursuivent.

Katia Sviderskaya est prête à aller aider sa famille à la frontière si la situation se détériore.

« Si quelque chose dégénère, je vais devoir aller à la frontière et les récupérer là-bas », souligne celle dont le grand-père doit limiter ses déplacements en raison de son état de santé.

Pour l’instant, sa famille est en lieu sûr et a toujours accès à des commerces essentiels. 

« Quand je leur parle sur FaceTime, j’entends les missiles, les avions, les coups de feu, mais ça va, tout est calme, rien ne tremble », raconte-t-elle. 

- Laurent Lavoie

Colère face à sa nation 

Photo Agence QMI, Julien Bouthillier

Liia Klimento est d’origine russe et est établie au Québec avec sa famille depuis 8 ans. Étudiante au cégep, elle nous confie ne pas avoir eu la force d’aller à l’école cette semaine tant elle est bouleversée par la guerre. 

« Il y a beaucoup de personnes, de nations qui ont souffert à cause de Poutine », dit-elle. C’est d’ailleurs une des raisons qui a poussé sa famille à émigrer : « Sous le règne de Poutine, ce n’était pas une très belle vie ». 

- Julien Bouthillier, Agence QMI

Conflit de politiciens  

Photo Agence QMI, Julien Bouthillier

« On doit soutenir notre pays pour que la guerre s’arrête au plus vite », affirme Margaryta Misko, 19 ans. Elle s’inquiète pour ses grands-mères réfugiées dans le sous-sol de leur immeuble à Nikolaïev. Elle souhaite que ce « conflit de politiciens » cesse et que les pays impliqués se rencontrent rapidement. Le peuple ukrainien n’a rien demandé de tout ça, dit-elle.

- Julien Bouthillier, Agence QMI

Ses amis prennent les armes 

Photo Agence QMI, Julien Bouthillier

« J’ai beaucoup d’amis qui sont en train de se battre à la minute où on se parle », affirme Sergiy Pavlenko, un étudiant de 25 ans. 

Selon lui, la population ici n’est pas assez sensibilisée à la gravité de la situation et sa mission est maintenant de relayer l’information.

- Julien Bouthillier, Agence QMI

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