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La gestion des chantiers routiers finira par s’améliorer, assure la Ville de Montréal

Cônes décrépits
Louis-Philippe Messier

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Blâmée par la vérificatrice générale pour le manque de coordination dans les chantiers routiers, la Ville de Montréal estime que des solutions déjà mises en place finiront par porter fruit.

Au premier chef, le système informatique AGIR (Assistant à la gestion des interventions dans la rue) n’existe que depuis un an.

«Ça n’a pas été bien huilé encore. Il y a du sable dans l’engrenage encore. On a commencé à mettre des permis là-dedans l’an passé. Est-ce que ç’a été top niveau? Non», a expliqué Philippe Sabourin, porte-parole de la Ville au micro de Benoît Dutrizac.

L’achalandage sur les routes est supérieur à ce qu’il était avant le début de la pandémie, a-t-il ajouté. Si les chantiers sont nombreux et qu’on n’y voit pas toujours des travailleurs, ce n’est pas parce que rien n’avance.

«Sur le boulevard René-Lévesque, c’est de la réhabilitation d’aqueduc qu’on fait. C’est normal de ne pas voir de monde à la surface. On travaille sous la chaussée la plupart du temps et il y a des périodes de séchage. Ce n’est pas un chantier fantôme. Ils sont occupés ce monde-là», a donné en exemple le porte-parole.

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