/sports/hockey/canadien
Navigation

Owen Beck paraphe déjà son premier contrat avec le CH

Coup d'oeil sur cet article

Owen Beck a appris après le match contre les Sénateurs d’Ottawa son renvoi avec les Steelheads de Mississauga. Mais avant de repartir pour la Ligue junior de l’Ontario, il avait reçu un beau vote de confiance en matinée de la part de Kent Hughes et de Jeff Gorton. 

• À lire aussi: Canadien de Montréal: la rentrée du capitaine Nick Suzuki

• À lire aussi: Canadien de Montréal: Sean Monahan comprend le jeune Juraj Slafkovsky

À quelques heures du sixième match préparatoire contre les Sénateurs d’Ottawa, mardi, l’Ontarien a écrit son nom au bas d’un premier contrat professionnel avec le Canadien. Il a paraphé une typique entente de recrue de trois ans qui lui rapportera en moyenne 950 000 $ le jour où il jouera dans la LNH. 

Premier choix du deuxième tour, 33e au total, au dernier repêchage, Beck a attiré les réflecteurs vers lui en connaissant un très bon tournoi des recrues à Buffalo récemment. 

Confiance et maturité

Le CH a aussi reconnu son bon camp en lui offrant rapidement un pacte. Seulement quatre joueurs sélectionnés au deuxième tour cet été ont déjà reçu ce cadeau. 

  • Écoutez le segment sportif de Jean-François Baril diffusée chaque jour en direct 6 h 43 via QUB radio :

« C’est un immense honneur d’obtenir un contrat à mon premier camp, a dit Beck avec un grand sourire dans le visage, mardi. C’est vraiment un bon sentiment. Je sens qu’ils me font confiance. J’ai travaillé fort cet été. »

Après le match de mardi face aux Sénateurs d’Ottawa, Owen Beck a été renvoyé chez les juniors. Mais il a suffisamment impressionné ses patrons pour signer un contrat d’entrée avec le Canadien.
Photo Martin Chevalier
Après le match de mardi face aux Sénateurs d’Ottawa, Owen Beck a été renvoyé chez les juniors. Mais il a suffisamment impressionné ses patrons pour signer un contrat d’entrée avec le Canadien.

« J’ai aimé sa maturité dans son jeu, a mentionné Martin St-Louis. J’ai aimé aussi sa constance avec ses décisions sur la glace. Il a un bon tir, il a marqué des buts, il a frappé des poteaux. Il est dangereux offensivement, mais aussi responsable dans son territoire. »

Beck a reçu les éloges de ses coéquipiers, de St-Louis et de la haute direction de l’équipe depuis le début du camp des recrues. On le décrit constamment comme un joueur de centre intelligent. 

  •  Ne ratez pas la chronique sports de Jean-François Baril, au micro de Mario Dumont, chaque jour sur les ondes de QUB radio : 

 

Bergeron ou O’Reilly

Dans la machine à s’enflammer à Montréal, plusieurs observateurs ont tracé des parallèles avec Patrice Bergeron et Ryan O’Reilly, deux autres centres repêchés au deuxième tour dans le passé. 

Beck avait aussi dit qu’il cherchait à modeler son jeu en regardant Bergeron et O’Reilly. 

La saison dernière à Mississauga, le droitier a amassé 51 points (21 buts, 30 passes) en 68 matchs. Il a gagné le trophée Bobby-Smith, décerné au joueur étudiant par excellence dans la OHL. 

Sans dire qu’il avait déjà son billet pour un retour dans les rangs juniors, St-Louis a prédit que Beck agirait encore plus comme un meneur avec les Steelheads. 

« Il ira là avec beaucoup de confiance. Il a un bon camp, il a signé un contrat, il jouera le rôle d’un meneur. Il aura cette responsabilité. Tu peux leader de plusieurs façons. Oui, en parlant, mais la meilleure façon reste avec tes actions. Il a appris bien des choses ici. Il aura une plate-forme pour leader », a assuré l’entraîneur-chef du Canadien.

Commentaires

Vous devez être connecté pour commenter. Se connecter

Bienvenue dans la section commentaires! Notre objectif est de créer un espace pour un discours réfléchi et productif. En publiant un commentaire, vous acceptez de vous conformer aux Conditions d'utilisation.