/lifestyle/columnists

Pour soutenir nos aînés vivant en RPA

Coup d'oeil sur cet article

Je fais partie de ces nombreux Québécois et Québécoises qui n’ont pas la chance d’avoir une famille pour les soutenir dans leurs démarches pour augmenter leur qualité de vie. Tout juste est-ce que j’ai quelques vieilles amies qui sont aussi mal prises que moi quand vient le temps de revendiquer pour me faire respecter.

Je loue un minuscule appartement dans une RPA de l’est du Québec depuis presque dix ans. Au début de mon séjour ici, je considérais que les services étaient conformes à ce qu’on m’avait promis qu’ils seraient quand j’y suis arrivée. Puis peu à peu au fil des ans, les choses se sont relâchées. Cela s’est fait de façon si subtile que je m’en suis à peine rendu compte.

Mais là après dix ans, il y a plein de choses qui me déplaisent et je ne sais plus comment faire savoir mon déplaisir aux gens de la direction. C’est comme si je parlais à un mur, et rien ne change jamais, surtout pas pour le mieux. Comment est-ce que je pourrais m’y prendre pour faire valoir mon point ?

Âgée peut-être mais encore vivante

Il existe ce qu’on appelle le CAAP (Centre d’assistance et d’accompagnement aux plaintes) qui a été mis sur pied pour venir en aide à des gens comme vous. « Ce sont des organismes communautaires régionaux qui sont mandatés par le ministre de la Santé pour vous assister et vous accompagner dans votre démarche de plainte.

Il existe un CAAP par région au Québec et leurs services sont gratuits, professionnels et confidentiels. » Pour joindre le vôtre : 1-877-767-2227 ou encore à l’adresse fcaap.ca/rpa.

Commentaires

Vous devez être connecté pour commenter. Se connecter

Bienvenue dans la section commentaires! Notre objectif est de créer un espace pour un discours réfléchi et productif. En publiant un commentaire, vous acceptez de vous conformer aux Conditions d'utilisation.