Nous, Blancs agriculteurs venus d’Europe, il nous fallait de la place pour cultiver et aussi du bois pour construire des maisons. La forêt nous apparaissait comme une sorte d’ennemie, d’autant plus qu’on pouvait s’y perdre, s’y faire manger tout rond par les bibittes ou simplement tuer par un Iroquois.
[Lire la suite]Ce rapport Coulombe (2004) était riche de contenu. Il y avait dans cette équipe, entre autres, un ingénieur forestier, un informaticien de la forêt, un biologiste, un sociologue.
[Lire la suite]Jamais nous ne nous attendions, Robert Monderie et moi, à ce que notre documentaire L’Erreur boréale (1999) produise un tel effet auprès du grand public. Nous ne nous doutions pas à quel point les Québécois sont attachés à leur forêt. Comme un arbre en guise de colonne vertébrale. Les vacances préférées des gens d’ici: une chaloupe, une canne à pêche, un petit feu le soir, une tite toune.
[Lire la suite]