Le photographe que l’on filme, c’est un peu «l’arroseur arrosé», c’est-à-dire celui qui subit le sort même qu’il a fait subir aux autres.
[Lire la suite]Voilà les réflexions troublantes que m’a inspirées la dernière Journée nationale des patriotes.
[Lire la suite]Si j’en crois la cinéaste Annabel Loyola, j’aurais pu, comme bien d’autres Montréalais, avoir des origines huronnes.
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